Théâtre du Quat ’sous, Faire des enfants

Pour commencer, le décor et l’organisation de l’espace de la scène était vraiment particulière pour une pièce de théâtre. Il n’y avait pas vraiment d’accessoire. Il y avait une couverture pour représenter le lit de la jeune fille. Quand les rideaux on tombé en même temps que le jeune homme ai tombé dans le trou qu’il avait fait, nous avons vu les lumières de la scène tout au long de la pièce jusqu’à la fin. C’est rare dans les pièces de théâtre que nous voyons les lumières de la scène. Ça donne un effet plus théâtral.

Pour finir, la pièce de théâtre était accrochante. Je l’ai trouvé vraiment intéressante. C’est sur de voir pendant près que toute la pièce du monde tout nu, mais tu d’habitue tout au long de la pièce. Puis de voir deux hommes embrasser c’est étrange de voir ça sur scène. C’est quand même dans le thème de la pièce. Je l’ai bien aimé. Le jeu des acteurs était vraiment bon. Je pense que ça devait quand même être difficile de jouer sans vraiment avoir d’accessoire ou comme dans la pièce avoir de lit pour délimité les zone de jeu. Au début de la pièce quand il est dans un club pis que les lumières font un effet de stroboscope ça nous met vraiment dans l’ambiance du club.



Film du FNC

Le film que nous sommes allés voir était La promenade de l’impossible. Le film était en Japonais sous-titré Français. J’ai trouvé que l’histoire était vraiment bonne. J’ai moins aimé le fait qu’il était sous-titré, mais au bout d’un temps j’ai quand même été capable de suivre l’histoire. Selon les professeurs, le film était sur la révolte étudiante des années 1960, mais je n’ai pas vraiment vu que c’était la révolte. Je l’ai vu un peu au début quand tout le monde courait dans les rues, mais c’est tout. J’ai trouvé que l’histoire était plus basée sur la vie pénible de la jeune fille et sur le jeune homme amoureux d’elle. J’ai trouvé que la musique allait bien avec le thème de l’histoire. Il y a des choses dans le film que j’ai pas tout à fait compris, comme quand l’autre fille est arrivé dans la vie du jeune homme puis qu’elle lui disait toujours ses fantasmes sexuels, je n’ai vraiment pas vu le lien avec l’histoire. Une scène que j’ai bien aimé, c’était celle où la jeune fille avouait à son amoureux dans la prairie; pourquoi elle n’avait jamais couché avec le jeune homme mort du début.  L’actrice joue bien son rôle, comme le réalisateur disait à la fin du film, il fallait qu’elle sache son texte par cœur puisqu’il fallait qu’il le tourne en une prise. Ça dû être une prise difficile à tourner, je pense. C’est un film que je suggère à tous. 

Rencontre avec le FNC :

Le FNC est le l’un des plus festival du Canada. Le but du FNC est de faire découvrir de nouvelle chose cinématographique. Nous avons rencontré un directeur et un programmateur du FNC. Ils nous ont fait découvrir des films qui présenteront pendant la semaine du festival. Il y aura le film Black blood, Nuit #1, Pina, Melancolia, Mike, La peau que j’habite et plein d’autre encore. Il affiche même des films en 3D. Il n’y a pas d’âge pour aller à ce festival, mais il n’y a pas beaucoup de film d’animation.

Il n’y a pas de tapis rouge. Les visiteurs peuvent rencontrer des acteurs et les réalisateurs aux grandes fêtes du soir. Le tarif, je trouve qu’il n’est pas si cher comparativement à d’autre festival, est de 100$ pour les 12 jours du festival et les visiteurs peuvent voir environ 300 films. Le tarif de Toronto est de 500$.

Ils vont au festival de Canne pour sélectionner des films et ça se termine au festival de Toronto. Ceux qui vont à Canne, ils peuvent voir de 50 à 60 films pendant leur semaine. L’horaire est de 8h30 le matin à 1h30 le matin. Il y a beaucoup de partenariats entre les autres festivals. Ils reçoivent 1 500 films de partout dans le monde et 10% des films sont regardés. Ils sont même équipés pour tous les formats de films et c’est un des seuls qui sont équipé pour ça.

Ils ont créé un camp pour les enfants défavorisés qu’ils ont nommé Petit Loup. Ils font un tournage avec eu pendant le mois aout et ils le présentent au festival.  

La rencontre a été très intéressante. Elle était dynamique. Je l’ai bien aimé.  

Conférence avec Raphaël de Groot

La conférence de Raphaël de Groot était intéressante. Il y avait de ces projets quelques-uns qui m’intéressait moins et d’autre que je trouve vraiment intéressant. Les projets que j’ai retenus le plus étaient celui fait en bibliothèque et celui du bottin de téléphone de Chicoutimi. Le projet en bibliothèque m’a attiré puisque le fait qu’une personne s’intéresse aux empreintes digitales c’est rare et en plus ça nous fait découvrir quel livre est pris le plus souvent et comment ils ont été tenu. Celui du bottin de téléphone de Chicoutimi ce qui m’a plus accroché, c’est le fait qu’elle est parti là-bas et elle a fait le tour de la ville en disant toutes les caractéristiques qu’elle voyait. Elle a pris le temps de couper un par un les noms du bottin ce qui prend surement énormément de temps. J’ai vu que dans l’art, il y avait toute sorte d’art. L’art qu’elle fait en s’accrochant dans les airs avec pleins d’objets sur elle, c’est une sorte d’art qu’elle fait. Ce n’est pas de l’art qui m’intéresse, mais pour d’autre c’est de l’art qui les attires.

Rencontre avec Sophie Deraspe

Mercredi le 22 septembre, Sophie Deraspe est venue au cégep de Granby. Sophie Deraspe est une réalisatrice qui sait faire durer le suspense comme dans le film Rechercher Victor Pellerin. Nous avions tous écouté le film sans même se poser  la question : est-ce que Victor Pellerin existe vraiment? Ce film m’a vraiment surprise à la fin quand j’ai su qu’il n’existait pas. Sophie nous a expliqué comment elle avait pensé à ce film. Je ne m’intéresse pas vraiment au domaine du cinéma, mais j’ai trouvé que c’était vraiment une bonne idée de la faire venir. Ceux qui veulent devenir réalisateur ou réalisatrice ont surement bien aimé cette rencontre, ça leur a donné l’occasion de lui poser des questions. Moi j’ai appris que le réalisateur n’a aucun mot à dire sur la pochette du film. J’ai su que faire un film ce n’était pas si facile que ça. Je ne pensais pas que tu devais attendre 1 an pour pouvoir faire une autre demande pour le moyen de financement si tu étais refusé. Je ne pensais que c’était si compliqué que ça. Un film a toujours l’air facile quand on le regarde mais dans le fond c’est compliqué.

Voici mon autoportrait



Je m'appelle Milène Boulais. Je suis dans le programme en Arts et lettres profil Lettres. J'ai mis en accent le gris car il représente le calme. J'ai mis autour de ma photographie du violet. Le violet est la couleur des rêveurs. Je suis une personne qui aime rêver. J'ai inscrit l'amour, la vie, la famille car ce sont les trois valeurs qui me tiennent le plus à coeur.

bienvenue

Bonjour à tous !

Bienvenue sur mon premier blog.

Je suis fière de vous présenter mon petit univers à travers ce site.

J’espère que vous apprécierez...! 

Mimi.